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LA MISÈRE

Le comte de Méria dirigea sur Léon-Paul le canon de son revolver. (Page 174.)

— Eh bien ! il n’y a pas lieu de s’en occuper pour l’instant. — Pourquoi cela ? — Il faut savoir ce qui adviendra de cette affaire de succession. — L’un n’empêche pas l’autre et les millions de M. Rousserand ne gâteraien ! rien aux millions de Saint-Cyrgue. Le comte de Méria fit la grimace et dit qu’il ne se souciait pas d’être le gendre d’un malotru qui se faisait casser la tête par un ouvrier. Que sa sœur et lui, avec la fortune de leur cousin, aspiraient à monter et non à descendre. Les Rousserand étaient un pis-aller. Liv. 22. A. Fayard, éditeur. 22