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LA MISÈRE

617 On eut dit qu’il hésitait quand il fallait se placer avec les autres, dans la cage et descendre dans la profondeur du puits. (Page 620.) Quelques parfums d’un goût acre, brûlés autour d’elle, amenèrent des gouttes de sueur sur son front. Claire vivait. Cette demi-sauvage, empressée autour d’elle, venait de la sauver de la mort comme les petits vagabonds l’avaient sauvée déjà. Le premier regard de la jeune fille fut pour Guthilde, son amie d’enfance, elle lui jeta les bras au cou en pleurant. — Ne parlez pas maintenant, dit Guthilde, vous nous direz plus tard ce que vous voudrez, buvez ceci et reposez-vous encore. LIV. 78. A. Fayard, éditeur 78