Kôkabiel, Tamiel, Ramiel, Daniel, Ezéqiel, Baraqiel, Asaël, Annaros, Batariel, Ananiel, Zaqilê, Samsapeel, Satariel, Touriel, Yomeyal, Arazeyal. 8. Ce sont leurs chefs de dizaine.
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Q : « Kôkabâel. »— T, U : u Kôkabel. » Cf. la note sur le f, 7. Au lieu de « Baraqiel », A, E, V ont lu « Saraqueyal », con-
fondant b avec s, ce qui est assez facile en éthiopien.
T : « Zaqêlô. » — Q : « Zeqesô. » — Tous les autres mss., à
Texception de G : « Zaqêbô. » — La véritable leçon est celle du grec, « Raqiel. »
- M : « Sàmpsepêsêel. » — T, U : « Sempsapebéel. » — Le
2* groupe à Texception de C, E, V : « Semsâwêel. » Cette der- nière leçon est celle qui se rapproche le plus du grec StfAc-^X. ^ Q : « Artiel, » au lieu de « Satariel ». — M : « Sartael. » • G : « Wariel, » au lieu de « Touriel ». 7 M, Q et le 2* groupe : « Yomyael. » B T : « Karaziel. »
T2 et le 2* groupe : « Ce sont les chefs des deux cents anges. »
n’avons donné que les plus importantes. — Arakib = ’Apaxti^X du Syncelle et ’ApaOdx du grec de Gizeh. — Aramiel = *Opaipi|ix|&i^ du Syncelle et Kt|&6p(i (?) du grec de Gizeh. Presque tous les manuscrits éthiopiens réunissent ces deux noms en un seul. G et Y seuls les séparent, mais inexactement : Araki, Baramiel pour Arakib, Aramiel. Cf. Diilmann, /)as Buch Ilenoch, p. 93-95. — Kôkabiel (voir plus haut les variantes, note 1), peut-être le nom babylonien de la planète Ju- piter, « rétoile de Bel, » c’est-à-dire » du Seigneur » par excellence, Marduk, le grand dieu de Babylone. Les Grecs Tont pour cette raison appelée Zeùc. Épiphane, Adv, hœr,, xvi, 2, la nomme KcoxèS ^âaX, et les Mandéens l’appellent eux aussi Kaukebil.