Page:Michel Martin - Livre Henoch ethiopien, Letouzey, 1906.djvu/236

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3. Par une porte, ils soufflent pour le bien ; mais, lorsqu’ils soufflent par les deux autres portes, c’est avec violence et désolation sur la terre, et c’est avec force qu’ils soufflent.



Les portes et les issues de l’ouest.


De là j’allai vers l’ouest, aux extrémités de la terre, et je vis là trois portes du ciel ouvertes, comme j’avais vu à l’est : autant de portes et autant d’issues.



Les portes du midi et de l’orient.


1. De là j’allai vers le sud aux extrémités de la terre, et là je vis trois portes du ciel ouvertes, d’où sortent le vent du sud, la rosée, la pluie [et le vent]. 2. Et de là j’allai vers l’orient aux extrémités du ciel, et là je vis trois portes du ciel ouvertes vers l’orient, et au-dessus d’elles de petites portes. 3. Par chacune de ces petites portes passent les étoiles du ciel, et elles se rendent à

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i U : u autant d’entrées et d’issues. » 2 « Le vent du sud » manque dans Q. — U : « par où viennent du sud la rosée, » etc. 3 V : « aux extrémités de la terre. «  4 M : (( et au-dessus d’elles passent les petites étoiles du ciel. » Tout le reste manque. XXXV. Ce chapitre parait incomplet. On attendrait à la fin : « c’est par là que se couchent les astres. » Voir lxxii, 3. XXXVI9 1. Les derniers mots du verset : et le vent, paraissent une interpolation dépourvue de sens. . Les trois grandes portes sont-elles destinées à donner passage aux vents d’est, comme le veut Dillmann?