— Comparaison des vassaux du moyen âge avec les clients de l’antiquité, des parlements avec les comices. Remarques sur les mots hommage, baron, sur les précaires, sur la recommandation personnelle et sur les alleux.
Chapitre III. — Coup-d’œil sur le monde politique, ancien et
moderne, considéré relativement au but de la science nouvelle.
(âge humain.) — Rome, n’étant arrêtée par aucun obstacle extérieur, a fourni toute la carrière politique que suivent les nations,
passant de l’aristocratie à la démocratie, et de la démocratie à la
monarchie. — Conformément aux principes de la science nouvelle,
on trouve aujourd’hui dans le monde beaucoup de monarchies,
quelques démocraties, presque plus d’aristocraties.
Chapitre IV. — Conclusion. — D’une république éternelle
fondée dans la nature par la providence divine, et qui est
la meilleure possible dans chacune de ses formations diverses. —
C’est le résumé de tout le système, et son explication morale et religieuse.