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CARLOVINGIENS.

mées ferment l’embouchure des fleuves ; mais comment fortifier tous les rivages ? Celui même qui a rêvé l’unité est obligé, comme Dioclétien, de partager ses États pour les défendre ; l’un de ses fils gardera l’Italie, l’autre l’Allemagne, le dernier l’Aquitaine. Mais tout tourne contre Charlemagne : ses deux aînés meurent, et il faut qu’il laisse ce faible et immense Empire aux mains pacifiques d’un saint.

FIN DU PREMIER VOLUME.

    erat, ut totius sibi Germaniæ promitteret potestatem, etc. » — V. aussi Annal. Franc., ap. Scr. Fr. V, 57, Hermann. Contract., ibid. 366.