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Page:Michelet - Histoire de France - Lacroix 1880 tome 1.djvu/54

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HISTOIRE DE FRANCE.

J’ai avalé trop de fléaux, trop de vipères et trop de rois.

Eh bien ! ma grande France, s’il a fallu pour retrouver ta vie, qu’un homme se donnât, passât et repassât tant de fois le fleuve des morts, il s’en console, te remercie encore. Et son plus grand chagrin, c’est qu’il faut te quitter ici.


Paris, 1870.