préféré Deluynes. — Il vient me proposer une sixième chez Liautard. — Pèlerinage à Bicêtre. — Tout changé.
— Il est impossible que nous ne nous revoyions plus !...
— Tout plein des émotions de la veille. — Il faut accuser
le manque de discipline. — Voilà Poret casé. — Quant à moi, rien. — Attendons la rentrée. . . 215
Toutes les nominations sont faites ; rien. — Je commence à me résigner. — Les leçons me viennent. — Le 23, Dubois m’apprend ma nomination. — Une suppléance à Charlemagne.
— Dans mes joies ou dans mes peines j’éprouve
le besoin de monter prés de lui. — Comment on doit lire les philosophes. . . 253
Presque plus de journal. — Les leçons que je donne aux gens du monde. — J’ai autant de goût pour la philosophie que pour l’histoire. — Monté au Père-Lachaise. — La santé de Mme Hortense m’inquiète. — Amie, mère et providence. — M. Nicolle m’a fait appeler. . . 256
ANNÉE 1822.
Ma pâture philosophique pour l’hiver. — Nos lectures peuvent être alternées. —
La Pucelle de Voltaire. — Rencontré
Héloïse. — Sans les misères de son enfance.... Le bien qu’on peut faire dans une adoption. — Je ferai peut-être un petit livre. — Comment il faut entendre l’amour. —
Ce qu’il faudrait dire au jeune homme. — Du rôle de la mère. — Oui, la femme vit, sent et souffre tout autrement que l’homme. — Elles sentent tout dès l’épiderme. — Ce qu’est la faiblesse chez la femme. — Que de choses à dire ! — L’amour pour la femme est frère de la mort. —
La femme doit être la providence des femmes. Un seul mot suffirait souvent au départ. — Qu’en résulte-t-il ?