Page:Michelet - Quinet - Des jésuites, 1843.djvu/40

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Je donne ici les notes qui me restent de mon cours. Je les donne, à peu près, telles qu’elles furent écrites, le jour même de chaque leçon. — Je ne pouvais écrire plus tôt ; d’une leçon à l’autre, la situation changeait, la question avançait, par la presse ou autrement, jusqu’au dernier jour.

On aura quelque indulgence pour un enseignement poursuivi malgré l’orage, et qui modifié dans la forme, selon les phases de la polémique, n’en marcha pas moins d’un pas ferme vers le but indiqué d’abord.

Je supprime dans ces notes plusieurs choses qui se rapportaient à mes leçons antérieures, et qu’on ne pourrait comprendre, sans avoir suivi mon cours.

J’écarte encore tel et tel point qui ne dut être qu’indiqué dans un cours dont l’objet était général, et qu’un autre cours, spécialement consacré à la littérature des jésuites, mettait en pleine lumière.