Page:Mikhaël-Mendès - Briséïs, Dentu.djvu/52

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cent flambeaux subitement aUumés, et que les petites ehréUenno*
jettent sur le linceul de t’épouse toutus les Oeura de leur panier une à
une, tous chantent avec une fureur rctigieuM.
TOUS
La vierge est à Dieu Des clartés étranges
Illuminent pour nous les flots prodigieux.
Descieuxouverts, un vent religieux
Nous apporte la joie immense
des archanges.
TUANASTO,
extaUque.
Déjà, pour les noces
mystiques,
Les anges nimbés d’or dans la pourpre des soirs
Sont venus vers l’autel en chantant des cantiques,
En remuant des encensoirs.
Et du haut de l’ardente nue,
Ainsi qu’un jeune époux penché sur le chemin,
Jésus a salué la vierge bienvenue
Offerte à l’ineffable hymen 1
TOUS
La Viergeest à Dieu!Desclartés étranges
Illuminent
pour nous tes Oots prodigieux.
Des cieux ouverts, un vent religieux
Nous apporte la joie immense des archanges 1
Après cet unantme emportement, les Ame* rentrant en aoi tous
tM hommes et te Catéchiste M retirent tente’nent. Les petites ehre-
Mennet descendent de l’autel en jetant sur BrM!a leurs dernières
<!eur*.p’:t* t’etoi~nent et rentrent dans le temple des Néréide*.
Seules demeurent Tt)ana*t0,le< diaconesses et Britt!* immobile tout
le tftnd voile-outire.