qu’il répandit sur elle et qu’il lança jusque
sur ses tétons. Tandis que je rendais ces
divers services, elle s’était emparée de mon
con, elle le chatouillait ; ce petit jeu, joint à
l’émotion que me causait le plaisir que je leur
faisais me mettait dans une agitation violente.
À mon tour, je désirais d’apaiser le feu qui
me dévorait ; elle s’en aperçut, et passant sur
ma gauche, elle prit la main de mon papa,
dont elle introduisit un des doigts qu’il agitait,
et par un jeu pareil à celui que j’avais
employé pour elle, Rose acheva de me faire
partager les doux plaisirs que nous lui avions
procurés, et dont elle ressentait encore les
effets pendant le service qu’elle me rendait.
Quand nous fûmes revenus dans un état plus tranquille :
— Écoute, cher papa, tu es peut-être étonné de l’habileté de Rose ; je n’en étais pas moins surprise ; je l’ai engagée à m’apprendre d’où venaient ces connaissances ; je vais répéter tout son récit ; mais non, c’est de sa bouche que tu dois l’entendre, et je désire qu’elle s’y prête ; ce que tu viens de faire avec elle la met à même de ne te rien cacher et de te confier tout ce qu’elle m’a dit.
Les baisers, les caresses furent employés pour l’y déterminer : elle se rendit aisément.
— Eh bien ! j’y consens, et puisque j’en ai fait part à Laurette, je ne risque plus rien ; les plaisirs dont nous venons de jouir ensem-