Page:Mirages-Renée de Brimont-1919.djvu/109

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murmure, murmure d’inexprimables choses…
Tu ne réponds rien ? Ton sourire nie ?
Mais un souffle, un souffle glacé
de ma ceinture a détaché la rose
moins enivrante que ce trop beau Passé !
… Oui, oui, je sais
qu’à souffrir vainement mon cœur s’ingénie…