Page:Mirbeau - À M. Lucien Millevoye, paru dans L’Aurore, 19 janvier 1899.djvu/10

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

réflexion faite, et le saint esprit de Norton étant descendu en vous, il paraît que c’est nous qui l’avons été, et combien ignominieusement !… Je ne suis pas fâché de le savoir, comme, par la même occasion, je suis heureux d’apprendre que, poursuivis par les héroïques gourdins des patriotes orléanais, et pour échapper à leur colère, nous fûmes obligés de nous enfuir, verts de peur, sous des déguisements de femme !