Page:Mirbeau - Le Jardin des supplices.djvu/252

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ah ! ne pleure plus !… Souris, maintenant… souris, avec tes yeux si bons… et ta bouche qui sait des choses si tendres… ta bouche, ta bouche !… Et marchons plus vite… J’aime tant marcher très vite, à ton bras !…

Et son ombrelle, au-dessus de nos têtes qui se touchaient, voletait, légère, brillante et folle, ainsi qu’un grand papillon.