Page:Mirbeau - Palinodies, paru dans L’Aurore, 15 novembre 1898.djvu/15

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à qui nous devons, entre tant de choses belles, la Voix de l’Île, qui est parmi les plus belles choses de ce temps. Et à mesure que je le connaissais et que je l’aimais, chaque jour, davantage, j’aurais bien voulu effacer de mon œuvre — si éphémère, si vite oubliée — certaines pages méchantes, avec le remords de les avoir écrites…

Maintenant, c’est fait !…

Octave Mirbeau.