Un si beau jeune homme !… (Isidore hoche la tête.)… Et… tout à l’heure il était là… si plein de vie… si gai… si charmant !…
Mes chers amis…
Vous l’aimiez tant !… Ah !… Vous ne méritiez pas ça…
Mes chers amis !…
Du courage !… Il ne faut pas vous laisser abattre.
Ah !… maintenant !…
On voit que Phinck et Gruggh sont à bout de paroles… Ils se regardent, gênés… se font des signes. Un petit silence.
Veuillez bien nous excuser… si nous sommes obligés de troubler… un instant… votre deuil…
Certes… nous savons… tout ce que les affaires… ont de pénible… en de pareils moments… (Il tire de sa poche deux feuilles de papier qu’il déplie.) Et si nous n’étions pas forcés de partir aujourd’hui, croyez bien…
Isidore regarde Gruggh et Phinck… avec insistance… Gruggh tend les deux feuilles de papier.