dépend du gouvernement que l’affaire ait ou non des suites… il s’imaginait déjà que vous n’auriez pu lui tenir tête.
Quelle affaire ?
Mais l’affaire du Foyer.
Oh ! oh ! Le calcul est trop simple… la manœuvre un peu lourde.
Des lourdauds, je vous dis. Ah ! ces mœurs nouvelles de la démocratie !… Leur politique ? Peuh ! Pour un rien ils vous mettent le marché à la main… Ils viennent vous dire : « Renoncez à nous créer des difficultés et nous étouffons l’affaire… » Car aujourd’hui dans toutes les affaires il y a toujours une sale affaire, hélas !
Je ne demande ni grâce, ni faveur… Qu’ils fassent ce qu’ils veulent… Tant pis pour ceux qui auront suscité le scandale !
Évidemment, évidemment… (Sans avoir l’air d’y toucher.) Au surplus, s’ils viennent vous demander l’emploi des sommes importantes qu’ils vous ont données, des derniers 100.000 francs du Pari mutuel
Ah ! pardon !… pardon !… Dieu merci, aucun de nos établissements n’est soumis au contrôle du gouvernement. Ce n’est pas que j’aie rien à redouter, je serais