pas aux socialistes… ils sont trop fous… mais aux radicaux-socialistes, qu’on peut faire réfléchir… Beaucoup sont riches…
Trop riches !
On en dit trop aux pauvres… On les instruit trop… (Geste oratoire.) Vous prétendez, messieurs, qu’il y a trop peu d’écoles, moi, j’ose affirmer qu’il y en a trop…
Bravo ! Bravo !
Il n’est pas désirable que l’instruction s’étende davantage… Car l’instruction est un commencement d’aisance, et l’aisance n’est pas à la portée de tout le monde…
Je propose l’affichage… (Changeant de ton.) On ne vous écoutera pas.
Du moins, j’aurai crié : « Casse-cou ! » (Se tournant vers Dufrère.) Qu’est-ce qu’il y a, Dufrère ?
Vous voudriez bien que nous vous rendions le baron ?
Madame, même mon cabinet est plein et j’ai dû faire entrer des visiteurs au salon…