Page:Mirecourt - Émile de Girardin.djvu/104

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Une fée lui prête son talisman pour le rendre invisible.

Il est aujourd’hui excessivement riche. Son association philanthropique des travailleurs à la Presse lui a rapporté deux cent quatre-vingt-neuf mille francs pour sa part. C’est le seul bénéfice qu’il ait tiré de ses sauts de carpe républicains.

De plus, il spécule tous les jours à la Bourse et y réalise des profits énormes ; il prend la revanche de ses piastres d’Espagne englouties autrefois dans le gouffre.

Le lecteur touche au terme de cette biographie.

Nous avons dit le bien, nous avons dit le mal, et l’on nous demandera peut-être une conclusion.

Qu’est-ce que M. de Girardin ? Est-ce