Page:Mirecourt - Émile de Girardin.djvu/107

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NOTE SUR LES AUTOGRAPHES

Nous offrons à nos souscripteurs deux autographes de M. de Girardin. Le second de ces autographes, dont nous avons fait tardivement la découverte, nous a paru trop précieux pour reculer devant une double impression. C’est la fameuse note que le rédacteur en chef de la Presse eut la gracieuseté de faire passer à Louis-Philippe, aux Tuileries, le 24 février 1848. Il était alors, comme on peut le voir, aussi partisan de la régence qu’il l’est aujourd’hui de la république.



* Au moment on nous imprimons cette troisième édition, on nous soutient que le buste dont nous avons parlé à la page 96 est celui de M. de Girardin lui-même. Alors il y a entre Robespierre et le rédacteur en chef de la Presse une féroce ressemblance.