Page:Mirecourt - Émile de Girardin.djvu/80

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qui resta, lambeau par lambeau, à tous les angles du tribunal.

Cleeman, l’un des trois, fut condamné, peu de temps après, à une peine infamante à propos de sa gestion criminelle dans les mines de Saint-Bérain.

Le rédacteur de la Presse était complétement étranger à cette nouvelle affaire ; mais que d’attaques insultantes, que d’insinuations perfides, que d’aiguillons mortels furent lancés contre lui !

Vingt réputations pour une auraient succombé dans cette lutte.

On parla bientôt d’une autre histoire de mines[1], dont les actions, prônées par la Presse, tombaient dans une défaveur subite.

  1. Cette fois, il s’agissait des houillères de Bouzogles