Page:Mirecourt - Émile de Girardin.djvu/83

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tait des régicides au nombre de ses rédacteurs. »

Émile Pages (Bergeron), fit porter à l’instant même un cartel à M. de Girardin, qui refusa de se battre et fut souffleté publiquement par son ennemi[1].

Les tribunaux seuls lavèrent cet outrage.

M. de Girardin continua de défendre le trône, la religion et la morale.

À coup sûr, on aurait berné le prophète assez malencontreux pour annoncer alors que cet illustre monarchiste deviendrait, un jour, partisan de la république.

Un mot du feuilleton de la Presse.

  1. Dans une loge à l’Opéra, sous les yeux de madame de Girardin.