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populariser sur les planches, dans le plus grand intérêt des mœurs de son siècle.
Nous arrivons à l’histoire de la Tour de Nesle.
Présenté par M. Gaillardet, son auteur, à la Porte-Saint-Martin, ce drame est trouvé remarquable comme sujet, mais vicieux comme facture.
Harel prie Jules Janin de le refondre.
Le prince des critiques garde l’œuvre deux mois, et les changements qu’il y opère la rendent plus mauvaise encore : le métier de ce diable de Jules consiste uniquement à éreinter les pièces ; jamais il n’a su en faire.
Dans cette extrémité, le directeur appelle Dumas.
Notre célèbre dramaturge prend le ma-