Page:Mirecourt - Alexandre Dumas.djvu/56

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
dehors le fracas des armes, au dedans le bruit des jeux ; la voix des mourants, la voix d’une populace ivre se confondent. (Page 174.)
des armes, au dedans le bruit des jeux ; ici la voix des chanteurs, là-bas, les cris des mourants. (Page 9.)
Alaric ne survécut que peu. Les Goths détournèrent les eaux du Busentum ; ils creusèrent une fosse au milieu de son lit desséché, et y déposèrent le corps de leur chef avec une grande quantité d’argent et d’étoffes précieuses ; puis ils remirent le Busentum dans son lit, et un courant rapide passe sur le tombeau. Les esclaves employés à cet ouvrage furent égorgés. (Page 105.)
Alaric meurt. Les soldats détournent le cours du Busento, font creuser une fosse pour leur chef au milieu de son lit desséché, y jettent sur lui de l’or, des étoffes précieuses ; puis ils ramènent les eaux du Busento dans leur lit ; le fleuve passe sur le tombeau. Ils égorgent jusqu’au dernier des esclaves employés à l’œuvre funéraire. (Page 12.)

Nous demandons à ne pas poursuivre. Devant de pareils témoignages, on reste confondu.

Le Capitaine Aréna, signé Dumas, contient la reproduction d’une délicieuse