Page:Mirecourt - Alexandre Dumas.djvu/7

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réunit pour charmer l’oreille et le regard. Chaque détail est une poésie, chaque pas fait naître un rêve.

Notre voyageur prend son bâton de touriste et se dirige vers ce pays ravissant.

Il arrive. Ô spectacle affreux ! Les villas, les jardins, les pelouses, les ombrages, tout est ravagé, tout est flétri. Un cyclope absurde prend ses ébats au milieu de la poétique région. Sur son passage, il ne laisse que ruine et désastre.

Le voyageur, c’est nous ; l’Eldorado, c’est le domaine des lettres ; le cyclope, c’est Alexandre Dumas.

À notre arrivée dans la littérature, nous avons trouvé cet homme brisant tout, gâchant tout, ne respectant rien, violant la Muse, et se moquant avec effronterie des choses respectées jusqu’à ce jour.