Page:Mirecourt - Balzac.djvu/47

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vantes que nous trouvons dans une préface signée d’elle :

« La vie de Balzac était, à l’habitude, celle d’un anachorète, et, bien qu’il ait écrit beaucoup de gravelures, bien qu’il ait passé pour expert en matières de galanteries, bien qu’il ait fait la Physiologie du mariage et les Contes drolatiques, il était bien moins rabelaisien que bénédictin. Ce grand anatomiste de la vie laissait voir qu’il avait tout appris, le bien et le mal, par l’observation du fait et la contemplation de l’idée, nullement par l’expérience. »

Madame Sand trahit ses rancunes secrètes.

Nous croyons, et le plus grand nombre