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tans qui faisaient rage sur leurs tréteaux et vendaient, à grand renfort de coups de tam-tam, leurs drogues politiques et littéraires, au détriment des saines élucubrations de Balzac et de ses amis.
L’auteur du Lys dans la Vallée travailla dix-huit mois pour ajouter vingt-cinq mille francs de plus au chiffre de son passif.
Il en devait dix mille à l’ancien propriétaire du journal[1].
Celui-ci, gêné lui-même, fut obligé de poursuivre rigoureusement son débiteur et le menaça de la contrainte par corps.
- ↑ M. Duckett, aujourd’hui rédacteur en chef du Dictionnaire de la Conversation.