Page:Mirecourt - Déjazet.djvu/57

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de Bondy,Indiana et Charlemagne, — la Comtesse du Tonneau, — Nanon, — Suzanne, — Vert-Vert, — la Maîtresse de langues, — le Philtre champenois, — les Beignets à la Cour, — Sous clef, — le Café des Comédiens, — Judith, — Un Scandale, — Richelieu, — Létorière, etc.

Nous en pourrions citer vingt autres[1].

On croyait l’actrice à bout de triomphes, quand une nouvelle mine de gloire fut découverte. L’idée vint à quelques auteurs de mettre en action les chansons de Béranger.

Rarement inspiration fut plus heureuse.

  1. Le soir de chaque première représentation, mademoiselle Déjazet prenait un bain russe. Elle entrait en scène, vive comme une anguille et fraîche comme une rose.