Page:Mirecourt - Dupin.djvu/51

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Montlosier, toutes les pointes et tous les épigrammes employés à la défense du Constitutionnel.

La presse pardonna M. Dupin, et les jésuites ne le rendirent victime d’aucune tentative d’empoisonnement.

Nous avons l’air d’écrire une histoire grotesque ; mais, en vérité, ce n’est pas notre faute. On remarque chez les hommes qui ont tenu le commencement de ce siècle des caprices si fantasques ; ils se sont livrés à des sauts de carpe si plaisants, que personne aujourd’hui ne prend leur caractère au sérieux.

Il paraît que la Restauration a plus d’une fois cajolé le héros de la Nièvre pour l’attirer à sa cause[1].

  1. On lui avait offert une place de maître des requêtes, avec