Page:Mirecourt - Félicien David.djvu/93

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Larochefoucauld, il y vit, comme autrefois il vivait à Ménilmontant, avec des oiseaux et des fleurs.

Il écoute chanter ses bengalis roses et bleus, qu’il fait nicher dans une volière immense ; il saisit au passage les roulades de leur gosier flexible et note leurs douces chansons d’amours.

Sa vie est modeste, simple, uniforme. Le travail est son unique bonheur.

Mais il ne faut pas que ce travail soir stérile. À l’horizon des arts, il n’est pas permis d’intercepter le soleil et d’empêcher une œuvre d’éclore.

Retenez bien cela, monsieur Roqueplan.