Page:Mirecourt - Frédérick Lemaître.djvu/26

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Avec ses sujets il pouvait tout se permettre, sans craindre l’émeute.

Un soir, pendant un acte où il ne devait point paraître, il s’appuie, tout en causant avec un de ses camarades, contre cette partie des coulisses appelée le manteau d’Arlequin.

Sous son coude, un bouton de cuivre se rencontre.

— À quoi peur servir cette machine ? fit-il en l’examinant.

— N’y touchez pas, monsieur Frédérick, n’y touchez pas ! crient les employés du théâtre. C’est le régulateur du gaz.

— Bah !… Le gaz a donc un régula-