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Page:Mirecourt - Gérard de Nerval.djvu/57

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fraîchement écloses sous le pinceau de ses locataires, et on lui cria :

— Regardez, malheureux ! vous nous redevez de l’argent !

— C’est juste, dit le brave homme.

Et jamais on ne le vit reparaître.

Pendant que les peintres s’escrimaient de la palette et les musiciens du piano, Gérard de Nerval, Théophile, Arsène Houssaye, Karr et les autres composaient pour le Vert-Vert mille articles pétillants d’esprit et de verve.

Quant à ce joyeux Figaro, mort depuis sous les ciseaux de la censure, et qui ne ressuscitera plus, quoi qu’on fasse et quoi qu’on dire, il se dirigea, dès le premier jour de sa naissance, vers la rue du