en Orient, afin d’échapper aux entreprises curatives des médecins, ce qui prouve beaucoup plus de raison et de sagesse qu’on ne se plaisait à lui en accorder.
Nous voudrions le suivre dans ses aventures merveilleuses, malheureusement nous pouvons à peine en donner quelques analyses succinctes.
Le Voyage en Orient est un des plus beaux livres de la littérature moderne.
Une vérité de récit sans exagération, sans emphase ; une peinture à la fois naïve, colorée, saisissante ; un charme de détails toujours nouveau ; une poésie douce et soutenue ; de gracieuses descriptions
étrangers. Ces fonds devaient être reconnus à la suite d’un changement de ministère. On les cotait déjà très-haut à la Bourse. Gérard les vendit et redevint presque riche. (Filles du Feu, page 131.)