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reçut charmant accueil de l’autocrate des beaux-arts.
— Que pouvons-nous faire pour vous être agréable ? lui dit celui-ci. Voulez-vous la croix ?
— Très-volontiers, répond Gavarni ; cela va bien sur un habit noir.
— Alors, rédigez votre demande, là, sur mon bureau.
— Hein ? s’écrie le dessinateur.
— C’est une condition sine quâ non. Pour obtenir la croix, il faut la demander.
— En ce cas, je ne l’aurai jamais ! dit Gavarni, car je ne remplirai pas la condition.
Ceci, en passant, à la louange de ces