Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/49

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ter encore un cadavre ?… Égoïste, va ! »

Nous concevons que Gavarni fasse dire à l’étudiant prêt à s’en aller en vacances :

« — Adieu, je te laisse ma pipe et ma femme… Aie bien soin de ma pipe ! »

L’heure est venue de préparer ses malles. On devise avec un camarade en fermant le sac de nuit.

« — Cette année ?… j’ai culotté cinq pipes… sans compter les fioles que j’ai décoiffées, les carreaux que j’ai cassés et les municipaux que j’ai cognés !… Et tu verras que mon auguste père va dire encore que je n’ai rien fait ! »

Pendant les vacances, l’étudiant joue au