Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/53

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On dîne. Un petit bonhomme se lève, montre d’une main le poulet qu’on découpe, et, de l’autre, un convive placé en face de ses parents :

« — Mère, est-ce que c’est le crevé de ce matin que t’as dit que ce serait toujours assez bon pour lui ? »

Jugez de l’effet de ces paroles.

Pour ce qui précède comme pour ce qui va suivre, notre seul regret, vous devez le comprendre, est de ne pas vous mettre le dessin sous les yeux. Gavarni perd la moitié de votre admiration.

Nouvelles histoires.

La porte s’ouvre. Un personnage à l’air simple se présente, et l’enfant terrible l’aborde en disant :