Page:Mirecourt - Gavarni.djvu/68

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il devait répondre à cet appel avant l’ancien !

« Je me souciais aussi peu de cette famille que de l’autre, que de la république, que de tout ce qui est de la politique ; mais j’aimais personnellement ce pauvre jeune homme. — Il avait été gracieux et excellent pour moi. — Je n’aime pas le roi, il m’a refusé la grâce de Peytel avec une sécheresse courtoise toute royale ; mais qui n’aurait pas pitié pourtant de ce père à ce chevet et derrière cette litière ? — Et la reine, une bonne mère, à ce qu’on dit !

« Enfin, c’est fini, — tout finit. — On y pensera deux jours ; — on parle déjà des conséquences politiques de l’événement. Il était vraiment temps que la politique eût