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Page:Mirecourt - Gozlan-Champfleury, 1858.djvu/47

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« Ici, un plafond d’Eugène Delacroix ; — ici, du marbre de Paros ; — ici, une boiserie de cèdre ; — ici, des panneaux de palissandre ; — ici, une fresque d’Ingres. »

Arrivant aux Jardies, et voyant ces féériques projets, Gozlan, railleur, écrivit sur une place encore nette :

« Ici, un tableau de Raphaël hors de prix, comme on n’en a jamais vu, et comme il n’y en a pas. »

Quelqu’un lui demandait un jour :

— Savez-vous de quoi Balzac est mort ?

— De quarante volumes répondit Gozlan.

Lorsque Vautrin fut suspendu par le