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Page:Mirecourt - Gozlan-Champfleury, 1858.djvu/71

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Dans un grenier qu’on est bien à vingt ans.

Mademoiselle Mariette et Champfleury purent tout à leur aise faire écho à Lisette et à Béranger. Ces dames, aussi folles l’une que l’autre, aussi coquettes et aussi séduisantes, eurent plus d’une fois à se reprocher les mêmes torts.

J’ai su depuis qui payait sa toilette.

Champfleury, dans ses œuvres, a raconté fort en détail toutes ces délicates histoires, et peut-être même avec un excès de réalisme dont la morale devrait se plaindre.

Lisez les Aventures de mademoiselle Mariette, si bon vous semble, et laissez-nous tirer le rideau.

Voyant qu’il avait un assez grand nombre de nouvelles pour en composer un