Page:Mirecourt - Guizot.djvu/25

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informations et sut que les parents de Pauline entretenaient, de longue date, avec le précieux abbé des relations directes et amicales.

Mademoiselle de Meulan n’avait pas un centime de dot ; elle vivait de sa plume.

Ceci n’arrêta point notre professeur, qui fit, dès lors, au bas-bleu une cour assidue, sans craindre les épines dont ce genre de femmes est presque toujours hérissé. Il eut la galanterie, pendant une maladie de Pauline, de lui envoyer des articles, qu’elle signait, et qui l’empêchèrent de perdre les appointements qu’elle touchait au Publiciste.

Revenue à la santé, mademoiselle de

    Londres après le 10 août, et s’était lié fort étroitement avec lui.