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Mais ce n’est pas la première fois que les chiens ont à se plaindre de l’ingratitude des hommes.
Le barbet tomba dans le désespoir. Il avala, dit la chronique, une boulette empoisonnée, qui lui fut perfidement offerte par le propriétaire. Janin ne pleura même pas la mort de cet ami fidèle, tant il éprouvait de joie de mettre un pied dans le journalisme.
Son ex-camarade de classe venait de le faire recevoir au nombre des rédacteurs de la Lorgnette[1].
Et si l’on nous reproche de raconter un peu trop à la légère ces particularités entièrement véridiques, nous adresse-
- ↑ Feuille de chou théâtrale, où Janin reçut en partage le compte rendu des pièces de l’Ambigu-Comique.