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n’as pas lu le dernier article de Jean-Jean, ma chère ? — On dévore les articles de Jean-Jean. — Ce gros Jean-Jean devient à la mode. — Payez-vous à souper ce soir, Jean-Jean, mon ami ?
Notre homme se fâche tout rouge.
Les petites causes engendrent les grands effets, comme l’a victorieusement démontré M. Scribe : toute l’histoire du prince des critiques découle du sobriquet de Jean-Jean[1].
Au lieu de prendre une tenue digne et de repousser par le dédain ces plaisanteries niaises, le rédacteur de la Lorgnette avise que sa plume est une arme
- ↑ En arrière ses amis le nomment Jeannot. Quelques-uns poussent l’inconvenance jusqu’à l’appeler Janin, dit l’Âne mort.