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de la pommade la plus odorante de ses feuilletons.
Mais, si vous n’avez pour lui ni prévenances délicates, ni procédés flatteurs ; si votre obséquiosité, toujours en éveil, ne se prosterne pas à plat ventre devant ce grand Lama des coulisses, vous êtes perdu.
Faites vos adieux à la gloire dont il tient tous les rayons pour les distribuer à sa guise.
Jamais la célébrité ne couronnera votre front d’une auréole, si vous avez été pour ce bon M. Janin sans respect, sans vénération, sans égards.
Oubliez de vous découvrir quand il passe, et vous resterez dans ces limbes obscurs où il plonge les plus beaux ta-