Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Et la fac’ rubiconde.
N’saut’ point-z-à demi,
Paillass’ mon ami,
Saute pour tout le monde !
Ô vieux Béranger ! si Jules nous intente un procès, nous te mettrons en cause.
En ce temps-là notre héros fit connaissance de mademoiselle Henriette L…, fille d’une portière de la rue de Tournon, charmante et gracieuse personne qui doublait les ingénues à l’un des principaux théâtres de Paris.
Henriette imitait ses compagnes et cherchait à gagner la bienveillance de Janin.
Mines pleines de gentillesse, provocants sourires, chatteries de femme délicates et mignonnes, rien n’était né-