Que ceci, messieurs les critiques, vous serve de leçon.
La peur n’a jamais été de l’amour. Ne vous trompez pas sur la nature de votre influence. Tout s’adresse a vos articles, et votre personne, croyez-le, n’est absolument pour rien dans la chose. Parce qu’une pauvre femme a eu le tort d’être craintive, elle n’est pour cela ni démoralisée, ni perdue.
De toutes les prophéties de Jules, il
L’auteur l’a peinte dans l’Âne mort sous les traits de la bonne qui met sa maîtresse à la porte. Cette habitude indécente de se venger des femmes dans leurs écrits est commune à beaucoup de littérateurs de notre siècle. Si Jules a divulgué ses peines de cœur, en revanche il a crié sur les toits ses triomphes amoureux. Cela fait compensation ; mais nous ne croyons pas que mademoiselle Georges soit très flattée de ces forfanteries.