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Page:Mirecourt - Jules Janin.djvu/70

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« les Gaietés de Toulouse et la Religieuse champêtre sont de petites coquineries littéraires, dont le souvenir a moins duré que le papier et qui sont allées protester sous le pilon contre l’indifférence publique[1]. »

Assez bon juge, quand il ne s’agit pas de musique, Nestor s’écrie quelque part, en s’adressant à Jules :

  1. Lorsque la littérature illustrée prit naissance Jules Janin vendit aux libraires une multitude d’œuvres de pacotille, dont les principales sont : les Catacombes, — un Hiver à Paris, — un Été à Paris, — Suite de Manon Lescaut, — le Gâteau des rois, — Voyage en Italie, — la Bretagne historique, — Voyage de Paris à la mer, — Histoire de la littérature dramatique, etc., etc. Son résumé de Clarisse Harlowe est détestable ; il a gâté Richardson, comme Florian a gâté Cervantès. Le texte des Galeries de Versailles a eu M. Janin pour rédacteur.