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Revenu en France à la fin de 1813, il fut très surpris d’apprendre qu’il lui restait encore à démêler quelque chose avec le service militaire. On enrôla notre touriste dans les gardes nationales mobiles, en compagnie du peu de jeunes gens que la mitraille avait épargnés.
Il fallut que Taylor se résignât, en qualité de neveu d’un général, à accepter le grade et la paye de sous-lieutenant.
Bientôt il comprit tout ce que sa nouvelle position lui offrait d’avantages. En attendant qu’on l’appelât sur le champ de bataille, il trouvait une existence matérielle assurée, et conservait assez de loisirs pour reprendre ses anciens travaux de journaliste.