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Page:Mirecourt - Louise Colet.pdf/91

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chez de l’arracher à ses funestes habitudes.

Elle tenta la conversion.

Aussi souvent qu’elle put l’obtenir, elle obligea le poète à venir la prendre, chaque soir, pour l’accompagner à la promenade. Elle le gardait ensuite à la maison le plus longtemps possible.

Un jour qu’ils revenaient ensemble du Jardin-des-Plantes, Alfred lui parlait à peine. Il se montrait sombre et taciturne.

L’auteur de Rolla, sans répondre, la quitte brusquement.

Surprise, elle le suit des yeux et le voit