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— Bon ! s’écria le poëte en se frottant les mains, j’ai mon article !
Après ce qu’il venait de voir, il était fort inutile de parler à Étienne.
Le lendemain, Méry se lève et consulte ses finances : il a quatre sous dans sa bourse, juste un sou de moins que le Juif errant.
Mais qu’importe ?
Il déjeune avec un sou de pain, une tablette de chocolat d’un sou, et il lui reste encore dix centimes pour aller lire le Constitutionnel au café de Thémis.
Ô bonheur ! la Villéliade a son article ! un feuilleton complet, un énorme feuilleton de six colonnes !
Méry court chez la brocheuse, met sous