Page:Mirecourt - Meyerbeer.djvu/70

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

sicale n’attaquera pas non plus le maëstro. Croyez-vous par hasard que je vous laisserai de gaieté de cœur vous mettre en contradiction flagrante avec vous-mêmes ? Souffler le chaud à droite et le froid à gauche, fi donc ! ce serait immoral. Allez, j’ai dit mon dernier mot !

Et Mirès congédie les Escudier par un geste d’empereur.

Depuis cette époque, deux journaux de plus rendent justice à Meyerbeer.

Le tour fut très-spirituellement joué.

Nous avons dit que le quatrième acte des Huguenots est universellement considéré comme une des plus grandes pages de la musique dramatique qui existent ; mais, ce qu’on ignore, c’est la ma-